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COMITÉ INTERNATIONAL POUR LA DIGNITÉ DE L’ENFANT | Chemin des Cerisiers 41 1009 Pully, Suisse | Téléphone : 077 266 98 37 | E-mail: info@cide.ch

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COMITÉ
INTERNATIONAL
POUR LA DIGNITÉ
DE L’ENFANT

Les buts du CIDE : informer, enquêter et alerter
sur des cas de violation des droits de l’enfant.

Reconnu d’utilité publique et sous contrôle de l’État.

Défendre les droits de l'enfant, prévenir les abus, soutenir les victimes

Une fondation engagée
au cœur de la société

Depuis la Suisse, la Fondation CIDE agit en France et en Suisse pour alerter, informer et accompagner face aux violations des droits de l’enfant. Notre mission : faire émerger la vérité là où elle est tue, soutenir les lanceurs d’alerte, dénoncer les réseaux de maltraitance infantile, d’inceste ou d’abus sexuels rituels et offrir une plateforme d’écoute, de compréhension et d’action.

Nos missions prioritaires

Notre fondation

Le CIDE : Qui sommes-nous ?

La Fondation CIDE est une organisation d’utilité publique fondée pour enquêter, sensibiliser et agir contre les atteintes aux droits fondamentaux des enfants. Nous déployons des enquêtes de terrain, produisons du contenu à forte valeur informative et accompagnons les victimes et leurs proches dans la durée.

Nos experts & correspondants

Un réseau de consultants et spécialistes en droit, psychologie, OSINT, santé et sciences humaines accompagne nos actions :

  • Prof. Bernard Bouloc (Sorbonne, droit pénal)
  • Christophe Peschoux (ancien ONU droits de l’homme)
  • Dr Nicolas Belleux (psychiatre, Lausanne)
  • Dr Sylvain Piron (EHESS, Paris)
  • Marie Le Grontec (thérapeute familiale, Paris)
  • Investigateurs OSINT, juristes, enseignants…
  • Jean-Luc Gremaud, docteur en science forensique.- Suisse
  • Dr Dominique Chatton
    Psychiatre et psychothérapeute FMH – formation spécialisée en sexologie   – Chêne-Bourg  –  Geneve

Témoignages

Notre Conseil de Fondation et notre équipe administrative assurent une gestion transparente et conforme à la norme AFNOR ISO 26000.

Nos Actions

  • Actions : suivez notre actualité sur le terrain
  • Articles : analyses signées par nos experts et correspondants
  • Vidéos : reportages, interviews, décryptages
  • Rapports d’enquête : enquêtes disponibles en téléchargement
  • Archives : toutes nos actions depuis 2012

Activités récentes

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🖐️ Le CIDE a apporté son soutien à Paris aux mamans victimes du placement abusif de leurs enfants

La mobilisation mardi 9 septembre, à Paris, place de la République, des mères d’enfants injustement placés à l’Aide sociale à l’enfance, a connu un brillant succès.

Le Comité international pour la dignité de l’enfant (CIDE), basé à Lausanne, a pris la parole à cette occasion, par le biais de son correspondant français, à la demande de Sophie Abida, l’organisatrice de l’événement.

👨‍👩‍👦 Une cinquantaine de mamans mais aussi quelques pères ont participé à ce rassemblement inédit en France. C’est en effet la première fois que les victimes manifestaient ensemble pour exiger l’application des lois.

Par mon intermédiaire, le CIDE a notamment dénoncé l’inversion accusatoire de plus en plus courante dans les tribunaux français. Elle revient à faire du père accusé d’inceste ou de violences la victime, et de la mère accusatrice une coupable.

Sophie Abida, en est l’exemple phare. Ses quatre enfants ont été placés chez le père, dénoncé pour inceste présumé et déjà condamné pour violences sur les petits, par une juge des enfants de Chartres. Depuis plus de dix mois, cette maman n’a pas revu ses enfants. Son seul contact : un coup de téléphone avec eux une heure par semaine ⛔️

Une forte médiatisation a et va donner un puissant écho à cette mobilisation. L’AFP, Le Nouvel Observateur, L’Humanité, Politis, et le Canard Enchaîné.

📺️ France-Inter avait ouvert ses informations le matin sur cette manifestation, avant même la chute de Bayrou, et C’à vous sur France 5 a reçu Mme Abida le soir sur son plateau.

Le CIDE a rappelé son action prolongée en faveur de cette maman, et la réponse incroyable des autorités judiciaires sollicitées par l’organisme suisse : si Mme Abida n’est pas satisfaite de la justice française, qu’elle plaide sa cause auprès de la Cour européenne des droits de l’Homme (CEDH)! 😮

📝 Jacques Thomet
... Voir plusVoir moins

🖐️ Le CIDE a apporté son soutien à Paris aux mamans victimes du placement abusif de leurs enfants

La mobilisation mardi 9 septembre, à Paris, place de la République, des mères d’enfants injustement placés à l’Aide sociale à l’enfance, a connu un brillant succès.

Le Comité international pour la dignité de l’enfant (CIDE), basé à Lausanne, a pris la parole à cette occasion, par le biais de son correspondant français, à la demande de Sophie Abida, l’organisatrice de l’événement.

👨‍👩‍👦 Une cinquantaine de mamans mais aussi quelques pères ont participé à ce rassemblement inédit en France. C’est en effet la première fois que les victimes manifestaient ensemble pour exiger l’application des lois.

Par mon intermédiaire, le CIDE a notamment dénoncé l’inversion accusatoire de plus en plus courante dans les tribunaux français. Elle revient à faire du père accusé d’inceste ou de violences la victime, et de la mère accusatrice une coupable.

Sophie Abida, en est l’exemple phare. Ses quatre enfants ont été placés chez le père, dénoncé pour inceste présumé et déjà condamné pour violences sur les petits, par une juge des enfants de Chartres. Depuis plus de dix mois, cette maman n’a pas revu ses enfants. Son seul contact : un coup de téléphone avec eux une heure par semaine ⛔️

Une forte médiatisation a et va donner un puissant écho à cette mobilisation. L’AFP, Le Nouvel Observateur, L’Humanité, Politis, et le Canard Enchaîné.

📺️ France-Inter avait ouvert ses informations le matin sur cette manifestation, avant même la chute de Bayrou, et C’à vous sur France 5 a reçu Mme Abida le soir sur son plateau.

Le CIDE a rappelé son action prolongée en faveur de cette maman, et la réponse incroyable des autorités judiciaires sollicitées par l’organisme suisse : si Mme Abida n’est pas satisfaite de la justice française, qu’elle plaide sa cause auprès de la Cour européenne des droits de l’Homme (CEDH)! 😮

📝 Jacques Thomet

«Être reconnue comme victime, ça sert à quoi, si on finit à la rue?»

Séverine* a survécu à l’impensable. Mais ce qui l’a le plus brisée, ce n’est pas l’enfance volée. C’est l’abandon du système, une fois ses parents condamnés. À peine majeure, sans papier, sans soutien, elle a dû se débrouiller seule pour survivre.

Aujourd’hui, elle veut tourner la page, protéger ses enfants, et construire un avenir digne. Formée comme aide-soignante, elle veut passer un CFC pour continuer à s’occuper des autres. Mais avec 690 CHF par mois, impossible d’y arriver seule.

Le CIDE la soutient depuis 20 ans. Aujourd’hui, nous avons besoin de vous pour l’aider à franchir cette étape.

🎯 Participez à la cagnotte solidaire: chaque don compte, et est déductible des impôts en Suisse.

Cagnotte en ligne, par ici: 👉️ tinyurl.com/35vzhup8

✉️ Contact : info@cide.ch

Parce qu’aider Séverine, c’est permettre à une femme forte et utile aux autres de retrouver enfin une vie normale.

*Prénom modifié pour respecter son anonymat.
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⚠️ Cessons d’alimenter les réseaux péd0philes ⚠️

Le CIDE s’inquiète du partage constant de contenus illustrant des enfants

➡️ 53 % des parents français ont déjà publié des images de leurs enfants sur les réseaux sociaux, avec 43 % d'entre eux commençant dès la naissance de l’enfant. (Radio France, France Bleu)

➡️ Un enfant apparaît en moyenne sur 1 300 photos en ligne avant l’âge de 13 ans. (Le Figaro, TF1 INFO)

➡️ Jusqu’à 50 % des photos circulant sur des forums péd0pornographiques sont postées initialement par les parents sur les réseaux sociaux. (Le Figaro, TF1 INFO, ladepeche.fr)

➡️ 40 % des personnes consultées des contenus péd0criminels cherchent ensuite à contacter un enfant. (Le Figaro, France Bleu)

➡️ Le nombre de signalements pour contenus péd0criminels a explosé, passant d’environ 3 200 par an en 2013 à 870 par jour en 2023.

🚨 Actions concrètes de prévention 🚨

👉️ Fixer des règles de diffusion : photos uniquement en privé, visibles aux proches de confiance (ex. Instagram «Amis proches»).

👉️ Cacher ou anonymiser : visages, noms, lieux, structures.
Désactiver géolocalisation, éviter les hashtags : ex. pas de #pottytraining.

👉️ Informer l’entourage : grands‑parents, amis, proches doivent aussi suivre les mêmes règles.

👉️ Parler avec ses enfants : sensibiliser dès le plus jeune âge sur le partage numérique et le droit à l’image.

👉️ Paramétrer ses comptes : vérifier (et refaire régulièrement) les paramètres de confidentialité.

👉️ Utiliser des outils de contrôle parental : filtres, applications comme Bodyguard, mais avec transparence et dialogue.
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